Une centaine de personnes salle du Verdet à Libourne le lundi 17 octobre ; plus de 80 à Izon le mercredi 9 novembre : l’initiative de la section des Rives de Dordogne du PCF d’ouvrir le débat public sur la volonté des dirigeants du SMICVAL de mettre fin à la collecte des déchets au porte à porte a rencontré un réel – et encourageant – succès.
Car ce débat public, ces mêmes dirigeants comptaient bien soigneusement l’éviter, tant leur « réforme », dictée par de pures logiques comptables et des préoccupations managériales camouflées en profession de foi écologique, vont à l’encontre des intérêts des usagers, et, plus généralement, tourne le dos aux plus élémentaires notions de service public.
Un véritable déni de citoyenneté qu’il n’était pas question que les communistes libournais laissent passer comme une lettre à la poste ! Ces débats ont confirmé que l’opposition des citoyens et de leurs élus à cette réforme était largement majoritaire. Les dirigeants du SMICVAL auraient tort de ne pas en tenir compte !